
Je ne voulais pas avoir d'idees preconcues des paysages que je m'appretais a traverser. Je n'en avais pas, excepte de BAKU, elles etaient justes. L'arrivee sur le ville par le sud se fait sur une lamgue de sable coincee entre la Caspienne et ses plateformes petrolieres et des marais cercles d'une croute de sel renvoyant les installations de stockage au pied de la montagne. Elle est pelee, assez modeste mais impressionne neanmoins, son relief tourmente probablement.
Des 10h00, une chaleur accablante piege la ville et le port, les grandes arteres"sovietiques" deviennent impraticables mais les rues du centre ville sont tres ombragees.
On m'annonce 10 degres de plus environ de l'autre cote de la mer. Le bateau m'y laissera, s'il part, samedi matin apres une nuit de traversee. J'ai longuement marche cet apres-midi, insensible au soleil, incapable de detacher mes pensees du desert, me forcant a calmer mon allure et ma respiration. Des annees a y penser, plus qu'un pas, il est un peu lourd.


1 Comments:
SALUT MON NICO,
WAOUF CA Y EST !!!
TU ES AU PORTE DU DESERT... QUE DE CHEMIN PARCOURU DEPUIS LE 2 AVRIL.
FAIS BIEN ATTENTION A TOI, DE MANIERE A CE QUE TU PUISSES SERRER DANS TES BRAS TON PETIT FILS....
ON T'AIME
ETHAN,STEPHANIE ET PIERO
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